ENGIE opère un repositionnement qui pose les bases solides d’une nouvelle dynamique de croissance avec un portefeuille moins exposé aux prix de marché, moins carboné et plus rentable. Les résultats 2017 sont en ligne avec les objectifs du Groupe : résultat net récurrent part du Groupe de 2,6 milliards d’euros1 et réduction significative de la dette nette. Pour 2018, ENGIE prévoit une croissance organique2 soutenue par rapport à 2017 et un dividende en hausse de 7,1 %.
Ces résultats démontrent qu’ENGIE a réussi à supporter l’impact d’un repositionnement stratégique vigoureux : 13,2 milliards d’euros de cessions d’actifs et 13,9 milliards d’euros d’investissements sécurisés dans des activités rentables aux perspectives de croissance attractives, tout en réalisant plus d’un milliard d’euros d’économies.
Aujourd’hui, ENGIE dispose d’un profil moins risqué (89 % de l’Ebitda est contracté ou régulé), moins carboné (90 % de l’Ebitda porte sur des activités peu émettrices de CO2) et surtout plus rentable (ROCEp4 désormais à 7,2 %, soit + 70 bp par rapport à 2015). La situation financière est saine avec moins de dette, une trésorerie renforcée et le meilleur rating du secteur.
Pour 2018, ENGIE prévoit un résultat net récurrent part du Groupe, hors E&P et GNL, compris entre 2,45 et 2,65 milliards d’euros5 soit une hausse brute de 8 % par rapport à 2017. Dans ce contexte, ENGIE annonce une hausse du dividende à 0,75 euro par action pour l’exercice 2018.
A l’occasion de la présentation des résultats annuels, Isabelle Kocher, Directrice Générale d’ENGIE, a déclaré : « Nos bons résultats sur l’année 2017 confirment la pertinence de la stratégie d’ENGIE. Le repositionnement ambitieux que nous avons effectué en réinvestissant massivement dans la production d’électricité bas carbone, les infrastructures et les solutions clients a permis de poser les bases solides permettant à ENGIE d’entrer dans une nouvelle dynamique de croissance. Nous avons désormais un portefeuille d’activités plus propre, moins risqué et plus rentable. Le retour à la croissance organique, fruit du travail et de l’engagement de toutes nos équipes, s’est confirmé et nous permet d’anticiper, pour 2018, des résultats solides et un dividende en hausse. »
Chiffre d’affaires de 65,0 milliards d’euros
Le chiffre d’affaires de 65,0 milliards d’euros est en croissance brute de 0,3 % par rapport au 31 décembre 2016 et en croissance organique de 1,7 %. La croissance brute est impactée par un effet de périmètre négatif de 583 millions d’euros lié principalement aux cessions des actifs de production d’électricité merchant aux États-Unis, en Pologne et au Royaume-Uni, compensé par l’acquisition de Keepmoat Regeneration, société spécialisée dans la conception, la rénovation et l’amélioration des bâtiments au Royaume-Uni, ainsi que par un effet de change défavorable de 300 millions d’euros notamment lié à l’évolution de la livre sterling. Le développement organique du chiffre d’affaires s’explique par l’accroissement des volumes et des prix de commodités vendues dans les activités d’achat-vente de gaz en Europe et de gaz naturel liquéfié (GNL) en Asie, par la performance accrue du parc de production thermique d’électricité en Europe et en Australie, par l’effet de mises en service d’actifs et de hausses tarifaires en Amérique latine, et par les révisions tarifaires de 2016 des activités d’infrastructures en France. Ces développements positifs sont en partie compensés par la baisse des ventes de gaz naturel aux professionnels en France et par une moindre production d’électricité renouvelable d’origine hydraulique en France.
Ebitda de 9,3 milliards d’euros
L’Ebitda s’élève à 9,3 milliards d’euros, en recul de 1,8 % en brut mais en croissance organique significative de 5,3 %. La décroissance brute s’explique par un effet périmètre de - 677 millions d’euros, principalement lié aux cessions d’actifs de production électrique merchant aux États-Unis en juin 2016 puis en février 2017, de Paiton en Indonésie fin 2016, ainsi que par la comptabilisation en Ebitda, à compter de 2017, de la contribution nucléaire en Belgique (- 142 millions d’euros) que compense partiellement un effet de change favorable limité (26 millions d’euros), lié notamment au réal brésilien. La croissance organique de l’Ebitda s’explique par les effets constatés au niveau du chiffre d’affaires (hors activités d’achat-vente de gaz et de GNL) auxquels s’ajoutent les effets du programme de performance Lean 2018 (393 millions d’euros) et un effet température légèrement défavorable (- 58 millions d’euros). Cette évolution organique atteste de la bonne performance des moteurs de croissance, c'est-à-dire les activités de production d'électricité renouvelable et thermique contractée, d'infrastructures et de solutions clients.
Un résultat opérationnel courant de 5,3 milliards d’euros
Le résultat opérationnel courant après quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence est en décroissance brute de 6,4 % mais en croissance organique de 5,0 % pour atteindre 5,3 milliards d’euros. La croissance organique de l’Ebitda est atténuée par la hausse des charges d’amortissement résultant de l’augmentation des provisions pour démantèlement des centrales nucléaires en Belgique comptabilisées fin 2016 en contrepartie d’un actif.
Un résultat net récurrent part du Groupe de 2,6 milliards d’euros1 et un résultat net part du Groupe de 1,4 milliard d’euros
Le résultat net récurrent part du Groupe sans changement de traitement comptable de l’E&P, à 2,6 milliards d’euros, s’améliore par rapport à 2016. Il intègre 0,2 milliard d’euros de résultat net récurrent part du Groupe des activités d’ENGIE E&P International (« Activités non poursuivies ») sans prise en compte du traitement IFRS 5 (0,1 milliard d’euros d’économie d’amortissement). Après prise en compte de cet impact, le résultat net récurrent part du Groupe publié s’élève à 2,7 milliards d’euros dont 0,3 milliard relatif aux activités non poursuivies.
Le résultat net récurrent part du Groupe des activités poursuivies s’élève à 2,4 milliards d’euros au 31 décembre 2017, en baisse brute de 2,4 % par rapport au 31 décembre 2016, la baisse du résultat opérationnel courant après quote-part de résultat net des entreprises mises en équivalence étant en partie compensée par l’amélioration du résultat financier et du résultat fiscal récurrents.
Le résultat net part du Groupe s’élève à 1,4 milliard d’euros au 31 décembre 2017, dont 0,2 milliard d’euros au titre des activités d’ENGIE E&P International (« Activités non poursuivies »). Il intègre notamment des pertes de valeur plus limitées qu’en 2016 (montants bruts de 1,3 milliard d’euros en 2017 versus 4,0 milliards d’euros en 2016).
Une dette nette de 22,5 milliards d’euros
Au 31 décembre 2017, la dette nette s’établit à 22,5 milliards d’euros, soit une réduction de 2,3 milliards d’euros par rapport à fin décembre 2016. Cette amélioration s’explique principalement par (i) la génération de cash-flow des opérations sur l’exercice (8,3 milliards d’euros), (ii) les effets du programme de rotation de portefeuille (4,8 milliards d’euros) avec notamment la finalisation de la vente du portefeuille d’actifs de production d’électricité thermique merchant aux États-Unis, en Pologne et au Royaume-Uni, la cession des participations dans Opus Energy et dans NuGen au Royaume-Uni, le classement en « Actifs détenus en vue de la vente » de la centrale de production d’électricité à base de charbon Loy Yang B en Australie, la cession de 25 % de la participation dans Elengy (via le transfert de 100 % d’Elengy à GRTgaz) et la cession de la participation dans Petronet LNG en Inde, et (iii) un effet change favorable (0,7 milliard d’euros). Ces éléments sont partiellement compensés par (i) les investissements bruts sur l’exercice (9,3 milliards d’euros), cf. page 6, (ii) le versement de dividendes aux actionnaires d’ENGIE SA (2,0 milliards d’euros) et aux participations ne donnant pas le contrôle (0,6 milliard euros). La dette nette a par ailleurs bénéficié de l’impact du recouvrement auprès de l’État français de la contribution de 3 % sur les revenus distribués (0,4 milliard d’euros).
Hors dette interne E&P, la dette nette financière s’établit à 20,9 milliards d’euros.
Le ratio dette nette financière / Ebitda, qui s’établit à 2,25 x (vs. 2,43 x en 2016), est en ligne avec l’objectif ≤ 2,5 x.
Le ratio dette nette économique10 / Ebitda s’établit à 3,9 x, en amélioration par rapport à 2016 (4,0 x).
Le coût moyen de la dette brute poursuit sa baisse pour la sixième année consécutive, atteignant 2,63 %.
A fin décembre 2017, ENGIE affiche une forte disponibilité de liquidité de 19,1 milliards d’euros dont 9,6 milliards d’euros en trésorerie11.
En avril 2017, l’agence de notation S&P a confirmé le rating long terme « A- » de ENGIE avec une perspective négative. En juin 2017, l’agence de notation Moody’s a confirmé le rating long terme « A2 » de ENGIE avec une perspective stable.
En octobre 2017, l’agence de notation de crédit Fitch a attribué à ENGIE la notation de crédit émetteur « A » avec une perspective stable. ENGIE détient ainsi la note la plus élevée parmi ses pairs du secteur des utilities. Pour Fitch, ces notations récompensent la taille et la diversification d’ENGIE, la part croissante d’Ebitda liée à des activités régulées et contractées qui ont permis de réduire l’exposition au prix des commodités, le développement ambitieux dans les solutions clients et sa politique financière prudente.
A fin 2017, ENGIE a cédé pour 13,2 milliards d’euros d’actifs (soit près de 90 % du programme de 15 milliards d’euros d’impact dette nette sur 2016-2018). A ce jour, 11,6 milliards d’euros de cessions sont finalisés. En novembre 2017, ENGIE a annoncé avoir signé avec Total un accord de projet de cession des activités midstream et upstream de GNL, qui devrait être finalisé courant 2018. En 2018, ENGIE a finalisé la cession de l’activité d’E&P International et celle de la centrale à charbon Loy Yang B en Australie.
ENGIE a investi et sécurisé pour 13,9 milliards d’euros (soit 97 % de son programme de 14,3 milliards d’euros12 d’investissements de croissance sur 2016-2018), dont 10,2 milliards finalisés. ENGIE a notamment réalisé des acquisitions pour 1,2 milliard d'euros dans le domaine des solutions clients : Keepmoat Regeneration (leader sur le marché britannique des services de rénovation pour les collectivités locales), EVBox (leader européen dans les solutions de recharge de véhicules électriques), Icomera (société suédoise leader dans le développement de solutions de communication embarquées dans les transports publics), et Tabreed à 40 % (leader des réseaux urbains de froid au Moyen-Orient). Par ailleurs, le Groupe a également investi dans les renouvelables avec notamment l’acquisition de 41 % de La Compagnie du Vent (développeur de projets renouvelables, éoliens et solaires, désormais intégrée à ENGIE Green) permettant à ENGIE d’en devenir actionnaire à 100 %, la prise d’une participation de 30 % au capital d’Unisun (entreprise spécialisée dans le solaire photovoltaïque en Chine), et, plus récemment, le gain de deux contrats significatifs de concessions hydroélectriques au Brésil.
Sur le programme de performance Lean 2018, compte tenu des avancées réalisées, ENGIE augmente son objectif 2018 de 100 millions d’euros, soit un total de 1,3 milliard d’euros de gains nets attendus au niveau de l’Ebitda à horizon 2018. A fin décembre 2017, 947 millions d’euros de gains nets cumulés au niveau de l’Ebitda ont été réalisés (dont 417 millions d’euros en 2017), ce qui est supérieur à l’objectif initial cumulé à fin 2017 de 850 millions d’euros, et la totalité du programme révisé a d’ores et déjà été identifiée.
Enfin en matière d’innovation et de transformation digitale, ENGIE continue d’investir pour préparer le futur et confirme sa position de pionnier dans les révolutions énergétiques et digitales. Les acquisitions en 2017 d’EVBox et d’Icomera s’inscrivent pleinement dans la stratégie de transformation d’ENGIE au service d’une mobilité plus intelligente et plus verte.
ENGIE a également annoncé en 2018 avoir signé un contrat d’acquisition pour une participation majoritaire au capital d’Electro Power System (EPS), entreprise spécialisée dans les solutions de stockage d’énergie à échelle industrielle et de solutions de micro-réseaux, permettant de transformer des sources d’énergie renouvelables intermittentes en une véritable source d’énergie stable.
Par ailleurs, après sa prise de participation en 2016 dans la société Heliatek, ENGIE a inauguré l’an dernier à La Rochelle, en France, la première toiture photovoltaïque organique installée dans le monde. ENGIE poursuit également le déploiement mondial de Darwin, sa plateforme digitale unique de gestion des données, qui vise à améliorer les performances de ses parcs de production d’électricité renouvelable, optimiser les coûts et développer la maintenance prédictive. En parallèle, ENGIE développe NEMO, une plateforme mondiale de supervision de ses réseaux de chaleur et de froid.
Enfin, convaincu du rôle majeur que les gaz verts, biogaz et hydrogène renouvelable sont appelés à jouer dans la transition énergétique, ENGIE continue d’investir dans leur développement. En 2017, ENGIE a inauguré la plateforme GAYA, près de Lyon en France, qui vise à tester la production de biométhane à partir de biomasse sèche. ENGIE participe également au déploiement de la première ligne de bus à hydrogène en France, à Pau, et a annoncé la création d’une entité globale dédiée au développement de l'hydrogène renouvelable dans le monde. Les objectifs d’ENGIE en France dans les gaz renouvelables sont ambitieux : 30 % en 2030 et 100 % en 2050.
ENGIE prévoit pour 2018 un résultat net récurrent part du Groupe compris entre 2,45 et 2,65 milliards d’euros. Sur base d’un résultat net récurrent part du Groupe hors E&P et GNL de 2,36 milliards d’euros en 2017, cet objectif induit une croissance brute de 8 % et une forte croissance organique sous-jacente.
Cet objectif repose sur une fourchette indicative d’Ebitda de 9,3 à 9,7 milliards d’euros, lui aussi en forte croissance organique.
Pour 2018, ENGIE prévoit :
Au titre des résultats 2017, ENGIE confirme le paiement d’un dividende de 0,70 euro par action, en numéraire. Au titre des résultats 2018, ENGIE annonce une nouvelle politique de dividende, avec un dividende en hausse (+ 7,1 %) à 0,75 euro par action en numéraire.
1RNRpg hors traitement IFRS 5 de l’E&P, i.e. hors économie d’amortissements de 0,1 milliard d’euros relative au traitement comptable IFRS 5 (les activités ENGIE E&P International sont classées en « activités non poursuivies ») soit une contribution de l’E&P de 0,2 milliard d’euros.
2Variation organique : variation brute retraitée des effets périmètre et change.
3la dette nette exclut la dette interne relative à E&P ; la dette nette reportée est de 22,5 milliards en 2017.
4« Return On Capital Employed » basé sur les capitaux engagés productifs fin de période, i.e. excluant les actifs en cours de construction pour 5,1 milliards d’euros.
5Ces objectifs et cette indication excluent les contributions de l’E&P et du GNL et reposent sur des hypothèses de température moyenne en France, de répercussion complète des coûts d’approvisionnement sur les tarifs régulés du gaz en France, d’absence de changements comptables significatifs autre que lié à IFRS 9 et IFRS 15, d’absence de changement substantiel de réglementation et de l’environnement macro-économique, d’hypothèses de prix des commodités basées sur les conditions de marché à fin décembre 2017 pour la partie non couverte de la production et de cours de change moyens suivants pour 2018 : €/$ : 1,22 ; €/BRL : 3,89 et ne tiennent pas compte d’impacts significatifs de cessions non encore annoncées.
6Données 2016 retraitées suite au classement d’ENGIE E&P International en « activités non poursuivies » à compter du 11 mai 2017.
7Résultat opérationnel courant après quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence.
8Hors coûts de restructurations, MtM, dépréciations d’actifs, cessions, autres éléments non récurrents, y compris financiers et fiscaux, et impacts fiscaux associés.
9Develop, Build, Sell and Operate.
10La dette nette économique s’établit à 36,4 milliards d’euros à fin décembre 2017 (versus 38,4 milliards d’euros au 31/12/2016) ; elle intègre notamment les provisions nucléaires et les avantages postérieurs à l’emploi ; le détail de son calcul est donné dans les notes aux comptes (§ 5.7).
11Dont trésorerie et équivalents de trésorerie (+ 8,9 milliards d’euros), actifs financiers évalués à la juste valeur par résultat (+ 1,1 milliard d’euros), nets des découverts bancaires (- 0,5 milliard d’euros).
12Net des produits de cessions sur les activités de développement, de construction et de cession partielle des parcs éoliens et solaires (DBSO) ; hors Capex E&P et amont GNL (dont Touat et Cameron) pour 0,3 Md € et Capex corporate pour 0,2 Md €.
La présentation de la conférence téléphonique investisseurs sur les informations financières au 31 décembre 2017 est disponible sur le site internet du Groupe :
/investisseurs/resultats-3/resultats-2017/
Les comptes consolidés du Groupe et les comptes sociaux de ENGIE SA au 31 décembre 2017 ont été arrêtés par le Conseil d’administration du 7 mars 2018. Les procédures d’audit sur les comptes consolidés ont été effectuées. Le rapport de certification est en cours d’émission.
L’ordre du jour complet de l’Assemblée Générale des actionnaires, les projets de résolutions et le rapport du Conseil seront publiés dans la seconde quinzaine du mois de mars.
PROCHAINS EVENEMENTS
Les données comparatives du 31 décembre 2016 ont été retraitées du fait du classement d’ENGIE E&P International en « Activités non poursuivies » à compter du 11 mai 2017.
Développer la production d’électricité peu émettrice de CO2
Du 1er janvier au 31 décembre 2017 :
Depuis le 1er janvier 2018 :
Du 1er janvier au 31 décembre 2017 :
Depuis le 1er janvier 2018 :
Développer les solutions intégrées pour ses clients
Du 1er janvier au 31 décembre 2017 :
Depuis le 1er janvier 2018 :
Avertissement important
Les agrégats présentés sont ceux habituellement utilisés et communiqués aux marchés par ENGIE. La présente communication contient des informations et des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent des projections financières et des estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs et des attentes concernant des opérations, des produits ou des services futurs ou les performances futures. Bien que la direction d’ENGIE estime que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les investisseurs et les porteurs de titres ENGIE sont alertés sur le fait que ces informations et déclarations prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes, difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle d’ENGIE qui peuvent impliquer que les résultats et développements attendus diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits ou prévus dans les déclarations et informations prospectives. Ces risques comprennent ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics déposés par ENGIE auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), y compris ceux énumérés sous la section « Facteurs de Risque » du document de référence d’ENGIE (ex GDF SUEZ) enregistré auprès de l’AMF le 23 mars 2016 (sous le numéro D.16-0195). L’attention des investisseurs et des porteurs de titres ENGIE est attirée sur le fait que la réalisation de tout ou partie de ces risques est susceptible d’avoir un effet défavorable significatif sur ENGIE.
A propos d'Engie
ENGIE s’engage pour relever les grands enjeux de la révolution énergétique vers un monde de plus en plus décarboné, décentralisé et digitalisé. Le Groupe a pour ambition de devenir leader de ce nouveau monde de l’énergie et concentre ses activités sur 3 métiers clés pour le futur : la production d’électricité bas carbone, notamment à partir de gaz naturel et d’énergies renouvelables, les infrastructures énergétiques et les solutions performantes adaptées à tous ses clients (particuliers, entreprises, territoires, etc.). ENGIE place la satisfaction des clients, l’innovation et le digital au cœur de son développement.
ENGIE est présent dans près de 70 pays, compte 150 000 collaborateurs dans le monde pour un chiffre d’affaires de 66,6 milliards d’euros en 2016. Coté à Paris et Bruxelles (ENGI), le Groupe est représenté dans les principaux indices financiers (CAC 40, BEL 20, DJ Euro Stoxx 50, Euronext 100, FTSE Eurotop 100, MSCI Europe) et extra-financiers (DJSI World, DJSI Europe et Euronext Vigeo Eiris - World 120, Eurozone 120, Europe 120, France 20, CAC 40 Governance). Pour en savoir plus : www.engie.com