Chez ENGIE, nous voulons être le champion des « énergies zéro carbone » et, fort de notre modèle intégré, nous avons une position unique sur le marché pour proposer à nos clients une stratégie de décarbonation 360°. ENGIE Impact, l’entité d’ENGIE experte dans l’accompagnement des entreprises vers des solutions de transformation durable, a reconduit cette année l’ENGIE Impact Net Zero Report, son étude sur la progression des entreprises dans leur décarbonation. Lors de la Climate Week NYC 2022, Mathias Lelievre, CEO ENGIE Impact, en a dévoilé les premières conclusions : le fossé entre la validation de stratégies zéro carbone et leur réalisation sur le terrain se réduit, mais beaucoup reste à faire.
4 leviers à actionner pour passer de la stratégie aux actes
- Responsabilisation : un parcours de décarbonation requiert une mobilisation soutenue des dirigeants volontaires pour le Net zéro carbone. Contrairement à d’autres projets, où ils peuvent passer le relai une fois la stratégie déterminée, le zéro carbone leur demande un suivi qui va jusqu’à la mise en service du site et le reporting. Pour accélérer, il faut intégrer la décarbonation dans les objectifs de performance traditionnels des cadres (budget, bénéfices). Pour l’instant, seulement 57% des dirigeants interrogés intègrent la décarbonation dans leurs objectifs de performance.
>> L’ensemble des cadres dirigeants d’ENGIE bénéficient d’un Plan d’Actions de Performance conditionné par l’atteinte d’objectifs de réduction des émissions de CO2 et d’augmentation de la part des renouvelables (voir notre Politique climat).
- Centralisation des données : seulement 40% des entreprises centralisent leurs données sur la décarbonation. Or, les entreprises sont parfois présentes dans des régions qui en sont à des niveaux différents de leur transition énergétique. Une équipe transversale permettrait d’identifier les opportunités et les gains d’efficacité transrégionaux.
>> Découvrez la plateforme ENGIE Impact, un outil central et transversal, qui permet à nos clients de réduire leurs coûts et d’atteindre leurs objectifs en matière de développement durable.
- Finance durable : la lenteur de la mise en place des modèles de finance durable est le troisième bloqueur à l’exécution de stratégies zéro carbone. Seulement un tiers des organisations les ont déjà mis en place. Mais les mentalités changent et 70% des retardataires souhaitent les avoir implémentés pour 2025.
- Nouvelles technologies : le risque associé aux nouvelles technologies qui ne sont pas encore complètement matures pour certaines freine la volonté d’investir de 30% des dirigeants. Il se peut également que la technologie désirée n’existe tout simplement pas encore. Pourtant, il est vital de réaliser des investissements courts-termes ou des partenariats pour réduire les émissions carbone, pendant que la recherche et de l’innovation se poursuivent.