CARRIÈRE

L'engagement, une passerelle vers l'épanouissement !

Par ENGIE - 03 juin 2021 - 10:11

Synonyme d'épanouissement, l'engagement apporte beaucoup à celles et ceux qui font le choix de donner du temps aux autres bénévolement, selon leurs envies, leurs centres d'intérêt et leur disponibilité. Traditionnellement, c'est plutôt dans la sphère privée que l'engagement s'exprime. Mais de plus en plus d'entreprises, en cohérence avec leur démarche RSE, facilitent l'engagement de leurs collaborateurs. C'est notamment le cas chez ENGIE qui multiplie les dispositifs permettant aux femmes et hommes qui composent ses équipes d'exprimer leur volonté d'aller vers les autres.

 

S'engager, c'est donner du sens

Selon une étude de France Bénévolat réalisée en 2019*, quelque 20 millions de personnes – dont 13 millions au sein d'une association – font le choix du bénévolat en France. Cela représente plus d'une personne sur trois – 38 % des 15 ans et plus – soit une part très importante de la population. Et c'est loin d'être un hasard ! Car, si s'engager c'est donner du temps – de quelques jours par an à beaucoup plus – et de l'énergie, c'est aussi... recevoir. Cela favorise l'épanouissement personnel et procure mille et un avantages : multiplier les rencontres et élargir son réseau, donner un sens à sa vie, élargir son horizon, gagner en estime personnelle...

 

ENGIE, creuset de l'engagement

Si le bénévolat se vit le plus souvent dans la sphère privée, les initiatives solidaires sont aujourd'hui largement plébiscitées dans le monde de l'entreprise. La RSE – Responsabilité sociétale des entreprises – étant devenu un critère majeur à la fois pour les collaborateurs et les clients, il est désormais très fréquent que les sociétés incitent leurs salariés à s'engager. C'est bien sûr le cas au sein d'ENGIE qui a su développer un écosystème ouvert et décloisonné – illustré notamment par les nombreuses communautés – qui favorise les interactions positives et permet d'apprendre les uns des autres. Avec la Good Galaxy par exemple, le Groupe a su, comme l'explique Valérie Gaudart, directrice Culture et Communautés, « mettre en place un écosystème original et inclusif pour l’engagement des communautés variées d’ENGIE, où nous fédérons et valorisons ce qui se fait en matière innovation sociétale dans l'entreprise ».
Si la Fondation ENGIE soutient depuis des années des projets au profit de l'enfance ou pour favoriser l'accès à l'énergie, de nombreux autres dispositifs existent où chacun peut s'engager, à son rythme. Citons par exemple le programme 10 Days, qui permet aux salariés de dégager du temps pour partager leur expertise le temps d'une mission interne. Autre exemple emblématique, le concours Science Factor, réservé aux collégiens et lycéens, où des collaborateurs accompagnent dans la durée les lauréats du prix ENGIE pour les aider à affiner leur projet.

 

Ouvrir les portes aux jeunes femmes

On l'aura compris, les initiatives déployées par ENGIE pour faciliter l'engagement sont légion. A l'image du programme Capital Filles, dont le Groupe est partenaire et qui vise à accompagner des jeunes filles des quartiers populaires dans leurs premiers pas au sein de l'entreprise. Spécialiste de la mobilité dans le Groupe depuis 29 ans et 'marraine' bénévole, Isabelle Jouët-Pastré y participe depuis quatre ans, à sa plus grande satisfaction. « Quand je me suis engagée, c'était avec l'envie d'être utile et le sentiment que l'on manque de passerelles entre la vie scolaire et le monde de l'entreprise. » Depuis, elle a accompagné individuellement quatre jeunes filles en classe de terminale, échangeant très régulièrement avec elles sur leur projet, livrant conseils et impressions et les invitant à découvrir la vie de bureau le temps d'une journée. « Je ne suis ni assistance sociale ni leur 'maman', résume-t-elle. Mon but est de démystifier le monde de l'entreprise, leur en donner les codes et, si possible, leur ouvrir des portes. » Mission accomplie à deux reprises d'ailleurs, puisque deux jeunes femmes accompagnées par Isabelle Jouët-Pastré ont depuis rejoint le Groupe. « C'est certes aussi un moyen de recruter des talents féminins. Mais, d'un point de vue personnel, cela m'apporte beaucoup, je me sens fière de participer à ce programme. Cela prend finalement assez peu de temps et j'encourage les femmes évoluant en entreprise à faire de même ! »

 

Transmettre et sensibiliser

Même impression de donnant-donnant du côté d'Olivier Broché, 41 ans, directeur business support qui participe au programme de sensibilisation « J'apprends l'énergie » créé par ENGIE à destination des élèves. Père de deux jeunes garçons, ce spécialiste des énergies renouvelables a très vite été partant : « j'ai proposé à la maîtresse d'école de mon fils, alors en CM2, d'intervenir dans la classe, se souvient-il. La première fois, j'avais un peu la boule au ventre mais j'ai finalement adoré l'expérience ! » Au point de la rééditer une dizaine de fois en quelques semaines, proposant à quelque 300 enfants une animation ludique et vivante pour les sensibiliser aux ENR et à la chasse au gaspillage. « Les enfants étaient ravis qu'une personne extérieure à l'école prenne le temps de venir leur parler. Ils avaient beaucoup de questions à poser, des remarques souvent amusantes... et je crois que j'ai peut-être même suscité des vocations ! » Ces séances devraient prochainement se prolonger, en direction d'élèves de collège et de lycée. Et quel bilan fait Olivier Broché de l'expérience ? « C'est addictif ! Je suis ravi d'avoir transmis mon savoir et sensibilisé les enfants aux enjeux climatiques. Je me sens utile, j'ai l'impression d'agir car il est selon moi très important de faire comprendre très tôt aux jeunes générations qu'elles ont un rôle essentiel à jouer dans un futur proche. »

 

« Une nouvelle vision de mon métier »

Cap sur Madagascar pour évoquer l'expérience de Hedi Mellekh, informaticien de 29 ans et adhérent de Energy Assistance France, structure du Groupe animée par des collaborateurs bénévoles qui cherchent à donner accès à l'énergie aux populations fragiles. « Je souhaitais avoir un engagement concret, au plus près des personnes qui ont besoin d'aide, explique le jeune homme qui a passé deux semaines sur le terrain pour participer à l'électrification d'un petit village au sud de l'île. Moi qui ne suis pas technicien, j'ai vraiment appris sur le tas » note Hedi Mellech. « Mais c'était une expérience unique, nous avons été hébergés chez les habitants, très chaleureux, sans smartphone ni internet, à mille lieues donc de mon quotidien. » Et que retient-il de ce voyage hors normes ? « Je suis fier d'avoir travaillé pour équiper le village : cela a un impact durable sur près de 10 000 personnes. L'électricité, c'est l'accès à la santé, à l'information, au confort, à l'éducation... Au-delà d'avoir élargi mon horizon, cette expérience m'a donné une nouvelle vision de mon métier. J'ai hâte de pouvoir repartir. »
Outre leur passion et leur motivation, ces trois collaborateurs ont un autre point commun : celui de travailler chez ENGIE. Conformément à sa promesse employeur, le Groupe a mis en place les conditions pour leur permettre de se développer, de s'épanouir, d'avoir un impact utile et positif grâce à leur métier.
Et pourquoi pas suivre leur exemple ?

 

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>> Pour en savoir plus sur Energy Assistance France, écoutez ce podcast <<

 

*L'évolution de l'engagement bénévole associatif en France, de 2010 à 2019