
Par ENGIE - 28 février 2019 - 12:00
Commentant les résultats annuels 2018, Isabelle Kocher, Directrice Générale d’ENGIE, a déclaré : « Nous avons posé les jalons d'une importante création de valeur pour nos actionnaires et comptons sur nos réalisations pour être à l'avant-garde de la deuxième vague de la transition énergétique, avec un impact positif croissant sur nos clients. J'aimerais remercier tous les employés d'ENGIE pour leur engagement qui a été essentiel à la réalisation de notre plan stratégique au cours des trois dernières années. En 2018, nous avons atteint nos objectifs grâce à l'engagement de nos équipes, et ce malgré les défis exceptionnels que nous avons dû relever en Belgique. »
Dans la continuité du repositionnement stratégique entamé en 2016, ENGIE a poursuivi avec succès le développement de ses activités prioritaires. Ses positions ont été renforcées dans les Solutions Clients, (i) par des acquisitions ciblées en Amérique latine, aux Etats-Unis, en Allemagne et à Singapour, (ii) par des gains de contrats sur des segments en très forte croissance (mobilité, gestion de campus et réseaux de froids), (iii) par la croissance du carnet de commande dans les activités d’installation ainsi que par l’augmentation des ventes d’électricité et de gaz en offres de marché en France. Dans les Infrastructures, la régulation du stockage en France a été mise en œuvre, le cap des 2,5 millions de compteurs communicants gaz installés en France a été franchi et les activités en Amérique latine se sont développées. Dans les Renouvelables, 1,1 GW de capacités éoliennes et solaires ont été ajoutées en 2018. Enfin, dans le Thermique contracté de nouveaux contrats long-terme ont été signés.
Pour 2019, ENGIE prévoit un résultat net récurrent part du Groupe en hausse, compris entre 2,5 et 2,7 milliards d’euros (5). A moyen terme, ENGIE annonce une nouvelle politique de dividende dans une fourchette de 65 % à 75 % de ratio de distribution sur la base du RNRpg. Au titre de l’année fiscale 2019, ENGIE vise un dividende dans le haut de cette fourchette.
Le chiffre d’affaires au 31 décembre 2018 s’élève à 60,6 milliards d’euros, en hausse de + 1,7 % en brut et en organique par rapport à 2017.
La variation brute du chiffre d’affaires est impactée par un effet de change défavorable (- 929 millions d’euros), notamment lié à la dépréciation du real brésilien et du dollar américain face à l’euro, ainsi que par des effets de périmètre globalement positifs (+ 955 millions d’euros). Les effets de périmètre sont principalement liés aux acquisitions réalisées dans les Solutions Clients (notamment Keepmoat Regeneration au Royaume-Uni, MCI en France, Talen et Unity aux États-Unis) et à l’acquisition de deux concessions hydroélectriques au Brésil. Ces effets positifs sont partiellement compensés par la cession des activités de production thermique d’électricité au Royaume-Uni et en Pologne en 2017 et de la centrale de production d’électricité à base de charbon de Loy Yang B en Australie début 2018.
La croissance organique du chiffre d’affaires s’explique principalement par des hausses tarifaires et des nouveaux contrats de fourniture d’électricité signés en Amérique latine, la croissance des ventes d’électricité d’origine hydraulique en France et au Brésil, la progression des ventes d’électricité sur le segment des particuliers en France, la hausse des ventes dans les activités de commercialisation d’énergie au Royaume-Uni, en Roumanie et en Australie, ainsi que par le meilleur niveau d’activité dans les solutions BtoB et BtoT en France et dans le reste de l’Europe. Cette croissance du chiffre d’affaires est partiellement compensée par l’effet des nouvelles modalités de comptabilisation des contrats d’approvisionnement long terme de gaz en Europe depuis fin 2017, sans effet sur l’Ebitda, ainsi que par la baisse des ventes de gaz en France.
L’Ebitda de la période s’élève à 9,2 milliards d’euros, en hausse de + 0,4 % en brut et de + 4,7 % en organique par rapport à l’année 2017.
La croissance brute de l’Ebitda intègre un effet de change défavorable (- 258 millions d’euros) principalement lié à la dépréciation du real brésilien face à l’euro et dans une moindre mesure à celle du dollar américain, et un effet périmètre négatif (- 113 millions d’euros). Cet effet de périmètre s’explique principalement par les cessions de la centrale de production d’électricité à base de charbon Loy Yang B en Australie début 2018 et des activités de production thermique d’électricité au Royaume-Uni fin 2017, partiellement compensées notamment par l’acquisition de deux concessions hydroélectriques au Brésil fin 2017 et par diverses acquisitions dans les solutions BtoB and BtoT notamment aux Etats-Unis et au Moyen-Orient.
La croissance organique de l’Ebitda s’explique principalement par les effets constatés au niveau du chiffre d’affaires. Contribuent également à cette croissance organique la performance des activités d’achat et de vente de gaz (liée à l’évolution favorable des marchés en Europe et au nouveau mode de gestion de certains contrats long terme), les effets du programme de performance Lean 2018 ainsi que l’impact positif de la mise en œuvre de la régulation du stockage de gaz en France. Ces effets viennent plus que compenser l’impact négatif de l’activité nucléaire en Belgique lié à d’importantes maintenances non programmées ainsi qu’à une baisse des prix captés.
Selon les activités, la performance de l’Ebitda est la suivante :
En dehors du nucléaire, toutes les activités sont en croissance brute et organique, et ce malgré un effet change défavorable significatif.
Le résultat opérationnel courant après quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence s’élève à 5,1 milliards d’euros, en recul de - 0,9 % en brut et en progression de + 5,1 % en organique par rapport au 31 décembre 2017, en ligne avec les taux de croissance de l’Ebitda.
Le résultat net récurrent part du Groupe des activités poursuivies s’élève à 2,46 milliards d’euros au 31 décembre 2018, en forte hausse de + 10,1 % par rapport au 31 décembre 2017, en lien avec l’amélioration constatée au niveau du résultat opérationnel courant après quote-part du résultat net des entreprises mises en équivalence à laquelle s’ajoute une amélioration du taux effectif d’impôt récurrent.
Le résultat net part du Groupe total (12) s’élève à 1,0 milliard d’euros, contre 1,3 milliard d’euros au 31 décembre 2017. Il est impacté négativement principalement par des pertes de valeur, ces effets étant partiellement compensés par le résultat de cession des activités amont du gaz naturel liquéfié (« Activités non poursuivies»).
La dette nette financière s’établit à 21,1 milliards d’euros, en réduction de -1,4 milliard d’euros par rapport à fin décembre 2017. Elle bénéficie principalement (i) de la génération de cash-flow des opérations sur l’exercice (7,3 milliards d’euros), (ii) des effets du programme de rotation de portefeuille (4,4 milliards d’euros, avec notamment la finalisation des cessions des activités Exploration-Production et amont GNL, de la centrale de production d’électricité à base de charbon Loy Yang B en Australie et des activités de distribution en Hongrie, ainsi que le classement en « Actifs destinés à être cédés » de la participation dans Glow, opérateur de centrales de production d'électricité dans la région Asie-Pacifique). Ces éléments sont partiellement compensés (i) par les investissements bruts de la période (7,6 milliards d’euros (13)) ainsi que (ii) par le versement de dividendes aux actionnaires d’ENGIE SA (1,7 milliard d’euros) et aux participations ne donnant pas le contrôle (0,6 milliard d’euros).
Le cash-flow des opérations (CFFO) s’établit à 7,3 milliards d’euros, en recul de - 1,2 milliard d’euros par rapport au 31 décembre 2017. Cette évolution s’explique par la normalisation de la variation de besoin en fonds de roulement pour - 1,5 milliard d’euros, et par une baisse des cash-flows financiers, partiellement compensées par une amélioration de la génération de cash opérationnelle et par de moindres décaissements d’impôts.
A fin décembre 2018, le ratio dette nette financière / Ebitda s’élève à 2,3x, inférieur à l’objectif d’un ratio inférieur ou égal à 2,5x. Le coût moyen de la dette brute de 2,68 % est en très légère hausse par rapport à fin décembre 2017.
Le ratio dette nette économique (14) / Ebitda s’établit à 3,85x, stable par rapport à fin 2017. Après prise en compte de l’impact de la mise en œuvre de la norme IFRS 16 au niveau de l’Ebitda (15), le ratio est de 3,66x.
ENGIE a poursuivi avec succès son repositionnement stratégique avec l’atteinte des objectifs que le Groupe s’était fixé en 2016 :
Ce repositionnement stratégique réussi se matérialise également par une hausse de l’efficacité capitalistique et de la rentabilité du Groupe, avec en particulier un ROCEp (16) en hausse de plus de 90 points de base sur la période 2016-2018, et une augmentation des marges du résultat opérationnel courant dans les Solutions Clients de 30 points de base en 2018.
ENGIE prévoit pour 2019 un résultat net récurrent part du Groupe compris entre 2,5 et 2,7 milliards d’euros. Cet objectif repose sur une fourchette indicative d’Ebitda de 9,9 à 10,3 milliards d’euros, après application de la norme IFRS 16 contrats de location (17).
Pour 2019, ENGIE prévoit :
Afin d’assurer le suivi en interne de la réalisation de cet objectif, ainsi que sa communication, l’information sectorielle sera complétée à partir de 2019 selon un projet d’adaptation de l’organisation qui sera proposé prochainement.
Au titre des résultats 2018, ENGIE confirme le paiement d’un dividende ordinaire de 0,75 euro par action, en numéraire.
A compter de 2020 (19), le dividende annuel sera versé en une seule fois, à l’issue de l’Assemblée Générale Ordinaire (AGO) approuvant les comptes annuels.
Afin de neutraliser l’impact de cette transition pour les actionnaires en 2019, ENGIE soumettra à l’approbation de ses actionnaires lors de son AGO du 17 mai prochain un dividende exceptionnel de 0,37 euro par action, ce qui portera la distribution totale décidée par cette Assemblée Générale à 1,12 euro par action.
Pour l’avenir, ENGIE annonce une nouvelle politique de dividende à moyen terme, dans une fourchette de 65 % à 75 % de ratio de distribution sur la base du RNRpg. Au titre de l’exercice fiscal 2019, ENGIE vise un dividende dans le haut de cette fourchette.
En France, le Groupe a confirmé sa position de N°1 dans le solaire et l’éolien en remportant 230 MW lors du dernier appel d’offres gouvernemental et par l’acquisition d’un portefeuille de projets de 1,8 GW (acquisition de LANGA, 1,3 GW ; acquisition de SAMEOLE, 500 MW). Par ailleurs, la société FEIH, détenue conjointement par ENGIE et Crédit Agricole Assurances, a atteint 1,5 GW de capacités solaires et éoliennes installées début 2019.
Aux Etats-Unis, ENGIE a acquis Infinity Renewables et est ainsi devenu un leader dans le développement de parcs éoliens. La société a déjà développé 1,6 GW de capacités et possède un portefeuille de projets de 8 GW à divers stades de développement. En Inde, le Groupe a mis en service le parc solaire de Mirzapur et a atteint 1 GW de capacités renouvelables (éolien et solaire, installées ou en construction) en remportant un nouveau projet éolien de 200 MW. En Espagne, le Groupe a annoncé le développement de 9 parcs éoliens d’une capacité totale de 300 MW, aux côtés de partenaires. Au Sénégal, ENGIE a été retenu pour le développement de 2 parcs solaires d’une puissance totale de 60 MW.
ENGIE a également mobilisé son expertise pour apporter à ses clients des solutions renouvelables sophistiquées, de par leur technologie ou lorsqu’elles sont conçues sur-mesure pour répondre aux besoins spécifiques. Dans l’éolien en mer en France, les deux projets d’ENGIE (Le Tréport et les îles d’Yeu et Noirmoutier) ont été confirmés en juillet 2018 par le Président de la République ; les premières autorisations ont été obtenues en octobre pour les parcs des îles d’Yeu et Noirmoutier.
Début 2019, ENGIE a mis en service la centrale solaire thermodynamique de Kathu, l’un des plus grands projets d’énergie renouvelable en Afrique du Sud. Cette centrale solaire thermodynamique à concentration (CSP) possède une capacité de 100 MW et permet, via un système de stockage à sel fondu, de stocker 4,5 heures d’autonomie.
Au Mexique et au Chili le Groupe a développé son offre d’électricité verte pour les entreprises et signé avec le producteur d’acier Gerdau un contrat d’approvisionnement long terme de 15 ans. L’électricité fournie proviendra de nouveaux contrats d’approvisionnement adossés à une centrale photovoltaïque de 130 MW.
Enfin, ENGIE finalise la cession de la totalité de sa participation dans Glow en Asie-Pacifique, et cessera ainsi toute exploitation de centrale charbon dans la région.
En France, le Groupe a inauguré à Dunkerque le premier démonstrateur d’injection d’hydrogène vert dans le réseau de distribution de gaz (projet GRHYD), et a annoncé qu’il mobiliserait 800 millions d’euros dans les cinq prochaines années pour développer les gaz verts.
Au Brésil, le Groupe a signé le contrat de concession de la ligne de transmission électrique de Gralha Azul.
ENGIE a renforcé son positionnement sur les Solutions Clients dans plusieurs régions du monde.
En Europe, ENGIE s’est développé dans les services aéroportuaires avec l’acquisition de la société Priora FM SA, spécialisée dans la gestion des bâtiments et des infrastructures et le Facility Management. En Allemagne, le Groupe a confirmé sa position de leader des services techniques aux bâtiments avec l’acquisition d'OTTO Luft-und-Klimatechnik début 2019. Le Groupe a également continué de développer son activité de maintenance nucléaire avec le rachat par sa filiale ENDEL de la filiale spécialisée de SUEZ, ex-SRA SAVAC.
Aux Etats-Unis, ENGIE a acquis Unity International, société d’installation en génie électrique basée à New York City. En Amérique latine, ENGIE a renforcé son offre de services avec l’acquisition de CAM (Compañía Americana de Multiservicios), leader des services d'installation, d’exploitation et d’entretien dans les secteurs de l'électricité et des télécommunications.
Au cours de l’année 2018, ENGIE a aussi poursuivi ses investissements dans les technologies décentralisées innovantes, avec l’acquisition d’Electro Power Systems, devenu ENGIE EPS, pionnier des solutions de stockage hybrides et des mini-réseaux, et de SoCore aux Etats-Unis, qui offre des solutions solaires intégrées aux villes, aux collectivités et aux entreprises.
Le Groupe a également remporté plusieurs contrats emblématiques auprès des villes et des collectivités, dans le domaine des villes intelligentes. En France, ENGIE va ainsi créer une plateforme de données et de modélisation 3D pour la région Île-de-France, appelée « Smart Plateforme 2030 ». En Australie, le Groupe a signé un partenariat avec Greater Springfield pour en faire l’une des premières villes à énergie positive du pays. En Roumanie, ENGIE a acquis Flashnet, une entreprise IoT spécialisée dans l’éclairage public intelligent.
Dans le domaine de la mobilité verte, ENGIE a inauguré en France la plus importante flotte utilitaire hydrogène ainsi que la première station multi-carburants alternatifs. Le Groupe s’est également associé à la société Arval pour lancer en Europe une offre de mobilité électrique verte dans laquelle ENGIE s’occupera de l’installation et la maintenance des points de recharge. Début 2019, au Chili, le Groupe a signé un contrat pour fournir 100 bus électriques à la ville de Santiago.
Sur le marché des Campus & Universités, ENGIE a remporté au Royaume-Uni un contrat important pour la rénovation et la gestion des bâtiments de l’Université de Kingston à Londres. De plus, aux Etats-Unis, pour servir le campus de médecine de Longwood, à Boston, le Groupe a fait l’acquisition d’un micro réseau d’électricité, de chaleur et de froid.
Afin d’apporter des solutions adaptées aux besoins des clients particuliers, ENGIE a enrichi en France son offre d’autoconsommation solaire avec une solution modulaire de batteries qui peuvent être associées à des panneaux photovoltaïques, et a lancé une offre de chaudière gaz performante à 1 euro pour les ménages les moins aisés. Par ailleurs, le Groupe a investi dans HomeBiogas, une start-up israélienne qui a développé un digesteur permettant aux particuliers, dans de nombreux pays, de transformer leurs déchets organiques en gaz pour la cuisson et en engrais liquide.
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La présentation de la conférence investisseurs sur les résultats financiers au 31 décembre 2018 est disponible sur le site internet du Groupe : https://www.engie.com/resultats-financiers-2018
Les comptes consolidés du Groupe et les comptes sociaux de ENGIE SA au 31 décembre 2018 ont été arrêtés par le Conseil d’administration du 27 février 2019. Les procédures d’audit sur les comptes consolidés ont été effectuées. Le rapport de certification est en cours d’émission.
L’ordre du jour complet de l’Assemblée Générale des actionnaires, les projets de résolutions et le rapport du Conseil seront publiés dans la seconde quinzaine du mois de mars.
Les données relatives aux compte de résultat et flux de trésorerie de la période close le 31 décembre 2017 ont été retraitées du fait de l’entrée en application des normes IFRS 9 - Instruments Financiers et IFRS 15 - Produits des activités ordinaires (chiffre d’affaires) tirés de contrats conclus avec des clients, ainsi que du classement en « Activités non poursuivies » des activités amont de gaz naturel liquéfié (GNL). Le passage de l’information publiée à l’information comparative retraitée est présenté dans la Note 2 « Retraitement de l’information comparative » des notes aux comptes consolidés annuels.
Notes de bas de page
(1) Organique : hors effets change et périmètre.
(2) Génération de cash opérationnelle : marge brute d’autofinancement opérationnelle (MBAO).
(3) Impact cumulé du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2018.
(4) Impact cumulé du 1er janvier 2016 au 31 décembre 2018, net des produits de cessions dans le cadre de l’activité DBpSO (Develop, Build, partial Sell & Operate ; développement, construction, vente partielle et exploitation), hors capex E&P et upstream / midstream LNG et hors capex corporate.
(5) Ces objectifs et cette indication reposent sur des hypothèses de température moyenne en France, de répercussion complète des coûts d’approvisionnement sur les tarifs régulés du gaz en France, d’absence de changements comptables significatifs autres que liés à IFRS 16, d’absence de changement substantiel de réglementation et de l’environnement macro-économique, d’hypothèses de prix des commodités basées sur les conditions de marché à fin décembre 2018 pour la partie non couverte de la production, de cours de change moyens suivants pour 2019 : €/$ : 1,16 ; €/BRL : 4,42 et ne tiennent pas compte d’impacts significatifs de cessions non encore annoncées.
(6) Données 2017 retraitées suite au classement des activités GNL midstream and upstream en « activités non poursuivies » à compter de mars 2018 et à l’application des nouvelles normes IFRS 9 et IFRS 15.
(7) Y compris quote part du résultat net des entreprises mises en équivalence.
(8) Hors E&P et GNL.
(9) Cash flow from operations = Free Cash Flow avant Capex de maintenance.
(10) Y compris activités cédées sur la période ou en cours de cession.
(11) DBpSO = Develop, Build, partial Sell & Operate ou développement, construction, vente partielle et exploitation.
(12) Résultat net, part du Groupe des activités poursuivies et des activités non poursuivies.
(13) Net des produits de cession dans le cadre de l’activité DBpSO.
(14) La dette nette économique s’établit à 35,6 milliards d’euros à fin décembre 2018 (vs. 36,4 milliards d’euros à fin décembre 2017) ; elle intègre notamment les provisions nucléaires et les avantages postérieurs à l’emploi ; le détail de son calcul est donné dans les notes aux comptes (§ 5.7).
(15) Les loyers correspondant aux engagements de location intégrés à la dette nette économique sont par cohérence retraités de l’EBITDA (pour environ 0,5 milliard d’euros), reflétant les effets attendus à compter de 2019 de l’application de la nouvelle norme IFRS 16 Contrats de location.
(16) Return On Productive Capital Employed, excluant les capitaux employés non productifs et excluant du NOPAT les élément non récurrents de la quote-part de résultat net des entreprises mises en équivalence.
(17) Impact de l’ordre de 0,5 milliard d’euros (sans impact sur le RNRpg).
(18) Les projections de dette ne supposent aucune modification du cadre légal et réglementaire belge existant sur les provisions nucléaires.
(19) Sur la base du montant distribuable de l’exercice clos le 31 décembre 2019 pour le dividende versé en 2020.
Avertissement important
Les agrégats présentés sont ceux habituellement utilisés et communiqués aux marchés par ENGIE. La présente communication contient des informations et des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent des projections financières et des estimations ainsi que les hypothèses sur lesquelles celles-ci reposent, des déclarations portant sur des projets, des objectifs et des attentes concernant des opérations, des produits ou des services futurs ou les performances futures. Bien que la direction d’ENGIE estime que ces déclarations prospectives sont raisonnables, les investisseurs et les porteurs de titres ENGIE sont alertés sur le fait que ces informations et déclarations prospectives sont soumises à de nombreux risques et incertitudes, difficilement prévisibles et généralement en dehors du contrôle d’ENGIE qui peuvent impliquer que les résultats et développements attendus diffèrent significativement de ceux qui sont exprimés, induits ou prévus dans les déclarations et informations prospectives. Ces risques comprennent ceux qui sont développés ou identifiés dans les documents publics déposés par ENGIE auprès de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), y compris ceux énumérés sous la section « Facteurs de Risque » du document de référence d’ENGIE (ex GDF SUEZ) enregistré auprès de l’AMF le 28 mars 2018 (sous le numéro D.18-0207). L’attention des investisseurs et des porteurs de titres ENGIE est attirée sur le fait que la réalisation de tout ou partie de ces risques est susceptible d’avoir un effet défavorable significatif sur ENGIE.