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Améliorer la Qualité de l’air et développer la Mobilité verte

Outre le CO2, d’autres émissions issues de la combustion des énergies fossiles ou renouvelables dans les processus industriels de production d’énergie, sont libérées dans l’atmosphère. Tenant compte de leur concentration respective dans l’air à l’émission, les oxydes d’azote (NOx), le dioxyde de soufre (SO2) et les particules en suspension (PM) peuvent avoir un impact sur l’environnement et la santé humaine.

 

Les émissions industrielles

Le contexte réglementaire en matière d’émissions dans l’air évolue rapidement dans de nombreux pays, conduisant à un renforcement important des contraintes sur les principaux polluants (NOX, SO2 et PM). Le niveau d’exigence reste toutefois très variable en fonction des régions du monde.

 

Focus sur l’Europe

La Directive 2010/75/UE relative aux émissions industrielles (Directive IED) adoptée en 2012, en cours de révision, ainsi que le document BREF (Best Reference) de la Commission Européenne recensant les meilleures techniques disponibles pour les grandes installations de combustion adopté en 2017, sont les deux textes socles relatifs aux émissions industrielles en Europe. Ceux-ci impactent les installations d’ENGIE et des clients industriels du Groupe.

 

ENGIE s’attache, selon ces réglementations, à mettre en œuvre les meilleures techniques disponibles sur les différents sites de production d’énergie afin de réduire au maximum les émissions.

 

Outre le respect de la réglementation, ENGIE travaille aussi à la réduction de ces émissions de polluants atmosphériques et s’est doté d’objectifs à échéances 2030.

 

NOx-SOx-Particules

 

Actions sur les villes et les territoires

ville

Au-delà des actions mises en œuvre sur les sites de production d’énergie, ENGIE propose des offres pour accompagner les villes et les territoires dans la réalisation d’actions permettant d’améliorer la qualité de l’air. Ces actions peuvent porter sur les transports, la gestion des flux, ou encore l’accompagnement dans la mise en œuvre de la transition énergétique.

A Pau, ENGIE s'est vu confier par la Communauté d'agglomération le marché de fourniture d'hydrogène issu d'hydroélectricité locale permettant d'alimenter des bus urbains zéro émission. Un pas de plus pour la collectivité vers l'atteinte des objectifs du Plan Action Climat et la réduction de la pollution atmosphérique.

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La mobilité durable

ENGIE, en route vers la mobilité verte et durable

Promouvoir la mobilité durable pour ENGIE, c’est développer un mix de carburants alternatifs et son dispositif de recharge associés, pour des transports peu ou non polluants. En somme, c’est permettre tous les déplacements en cherchant à diminuer leurs impacts sur l’environnement et à améliorer la qualité de l'air. 

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Les plans de mobilité verte pour les salariés d’ENGIE

ENGIE a un objectif Net Zéro Carbone sur ses modes de travail à l’horizon 2030 et favorise la mobilité verte. 
Pour les voyages d’affaires, par exemple : 

  • Les déplacements en train sont privilégiés et imposés lorsqu’ilssont inférieurs à une durée de 4 heures ; 
  • Les déplacements en avion pour un aller/retour dans la même journée sont prohibés ; 
  • La classe Economy (moins émettrice en CO2) est imposée pour les déplacements en avion d’une durée inférieure à 7 heures. 

 

Depuis 2019, le groupe ENGIE a divisé par près de deux ses émissions de gaz à effet de serre liées aux voyages d’affaires (train et avion) avec 27 kT en 2022 contre 49 kT en 2019.

Les modes de déplacement pour voyages affaires ont évolué. Nous remarquons que certains collaborateurs ne souhaitent pas prendre l’avion pour des voyages en France et en Europe limitrophe.

ENGIE a également pour engagements :  

  • D'encourager 6% des collaborateurs à abandonner leur voiture pour se rendre au travail,  
  • De réduire l'empreinte carbone de la flotte automobile de fonction de 5% en encourageant l'éco-conduite.

 

Des actions au-delà des techniques traditionnelles

La biosurveillance végétale et fongique

Biosurveillance

Au-delà de la surveillance classique des émissions à la cheminée, la biosurveillance végétale et fongique permet d’observer et de cartographier l’impact des installations dans leur zone d’influence, et donc d’identifier d’éventuelles zones à risque nécessitant des améliorations au niveau du site. Cette méthode a d’ores et déjà été appliquée dans plusieurs entités du Groupe, dont Storengy.

 

La purification de l’air intérieur grâce à l’intelligence artificielle

Diya-One

C’est le rôle de DIYA ONE, le robot développé par Partnering Robotics et commercialisé par ENGIE Cofely. Il s’adapte aux différents environnements de manière fluide et dynamique. Il se déplace ainsi dans chacune des pièces d’un bâtiment en toute autonomie pour purifier l’air et collecter des données permettant le pilotage des services d’efficacité énergétique par exemple.

 

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