Par ENGIE - 26 février 2019 - 00:00
A l’occasion du salon de l’agriculture à Paris, trois partenariats ont été signés entre ENGIE et la FNSEA, la FNCUMA, l’INRA, et un Appel à Manifestation d’Intérêts avec la Région Hauts-de-France a été présenté. L’objectif est de promouvoir le développement du biométhane, énergie d’avenir et véritable opportunité de diversification des revenus des agriculteurs.
En présence de François de Rugy, ministre d’Etat, ministre de la transition écologique et solidaire et de Didier Guillaume, ministre de l'agriculture et de l'alimentation, Isabelle Kocher, directrice générale d’ENGIE, Christiane Lambert, présidente de la FNSEA (Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles), Luc Vermeulen, président de la FNCUMA (Fédération nationale des Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole) et Philippe Mauguin, président de l’INRA (L'Institut national de la recherche agronomique) ont signé les trois partenariats suivants :
Isabelle Kocher, directrice générale d’ENGIE a déclaré : « Je suis très heureuse d’être ici, au salon international de l’agriculture, pour promouvoir le développement de la filière biométhane française. Parce que les gaz verts sont pour nous une composante-clé du futur mix énergétique français, nous avons prévu de mobiliser 800 millions d’euros pendant 5 ans pour développer cette filière en France, avec nos partenaires. L’alliance avec le monde agricole est stratégique : notre vision est celle d’un biométhane développé localement, au cœur des territoires, par et pour les agriculteurs. »
Par ailleurs, Xavier Bertrand, Président de la Région Hauts-de-France et Didier Holleaux, Directeur général adjoint d’ENGIE ont présenté un Appel à Manifestation d’intérêts (AMI) dont le but est de développer les projets de méthanisation dans les Hauts-de-France :
Présent sur l’ensemble de la chaîne de valeur du développement des projets jusqu’à la vente aux clients finaux, ENGIE a pour objectif de produire un volume de 5 TWh/an de biométhane en France à l’horizon 2030. L’enjeu est l’industrialisation de la filière pour baisser les coûts d’environ 30 % d’ici à 2030 et asseoir sa place dans le mix énergétique.