
Catherine MacGregor et le ministre de l’Industrie et de l’Énergie
La construction, démarrée en 2023, sollicite en effet plus de 300 entreprises françaises, dont une centaine d’entreprises régionales :
- La sous-station a été construite par les Chantiers de l’Atlantique à Saint Nazaire (en savoir plus).
- Les couronnes d’orientation sont fournies par Rollix Defontaine – seule entreprise régionale à avoir été sélectionnée par un parc éolien en mer français pour fabriquer cette pièce.
- Les « core cables » sont conçus en Île-de-France par Prysmian.
- Les navires supports, qui servent aux opérations logistiques, sont équipées par des entreprises françaises comme Louis Dreyfus Armateur, TSM, STO Logistique, AMS et Alka Marina.

Pose des câbles inter-éoliennes en conçus par Prysmian en mars. En savoir plus.
Au total, cette phase de construction génère 1 600 emplois directs et indirects sont générés, dont 1 000 au Havre pour la fabrication des pales et des nacelles.
Fin novembre, la totalité du parc produira de l’énergie pour le réseau, et ce pour 25 ans. Une phase d’exploitation qui va générer 85 emplois directs pérennes, dont 60 pour l’exploitation et la maintenance du parc depuis la base située sur l’île d’Yeu.
Une preuve que les énergies renouvelables apportent aussi de l’énergie aux industries locales.
Pour en savoir plus (en français) : Les retombées économiques | Eoliennes en mer - Yeu et Noirmoutier